Comprendre,
c'est relier des éléments par des lois générales (pattern recognition).
C'est pourquoi l'histoire et la science sont essentielles pour
comprendre le monde.
Comme les philosophes des Lumières, j'ai conscience que la connaissance est le chemin vers le bien. Je n'imaginais pas à quel point avant d'avoir lu "La mort de la mort" (Laurent Alexandre, chirurgien urologue, fondateur de Doctissimo et patron de DNAvision, entreprise de séquençage ADN) et "The singularity is near" (Ray Kurzweil, inventeur, ingénieur en chef chez Google, fondateur de Singularity University) qui expliquent les conséquences du progrès exponentiel de la technoscience, par exemple l'informatique dont la puissance double tous les 1,5 ans à prix constant (Loi de Moore).
C'est à dire une capacité de calcul des processeurs d'environ fois mille en 15 ans, fois un million en 30 ans à prix constant, ce qui explique la progression informatique fulgurante que nous observons et qui transforme petit à petit notre monde. La prochaine révolution qui va impacter grandement les gens sera la révolution médicale. La Silicon Valley est en pointe dans toutes ces avancées.
Développement de l'intelligence artificielle (Watson d'IBM), séquençage ADN pour mieux connaître notre patrimoine génétique, prédispositions aux maladies (tests déjà réalisables pour quelques centaines d'Euros par 23andme), bientôt reprogrammation génétique de manière à améliorer le corps mentalement et physiquement, guérir les maladies (Calico de Google)... Hybridation homme-machine pour augmenter nos capacités intellectuelles et physiques (Neuralink d'Elon Musk, président de Tesla et SpaceX). Bref, la science-fiction devient réalité progressivement. Qu'aurait-on dit en 1950 si l'on avait dit que tout le monde aurait des téléphones sans fil et ordinateurs connectés à un réseau d'information mondial qui diffuse textes, audios, images et vidéos ?
Potentiellement, le progrès technoscientifique nous donnera la puissance nécessaire pour sauver le monde, même de catastrophes galactiques par la programmation de la matière et la canalisation toujours plus grande de sources d'énergies, voir l'échelle de Kardashev.
Comme les philosophes des Lumières, j'ai conscience que la connaissance est le chemin vers le bien. Je n'imaginais pas à quel point avant d'avoir lu "La mort de la mort" (Laurent Alexandre, chirurgien urologue, fondateur de Doctissimo et patron de DNAvision, entreprise de séquençage ADN) et "The singularity is near" (Ray Kurzweil, inventeur, ingénieur en chef chez Google, fondateur de Singularity University) qui expliquent les conséquences du progrès exponentiel de la technoscience, par exemple l'informatique dont la puissance double tous les 1,5 ans à prix constant (Loi de Moore).
C'est à dire une capacité de calcul des processeurs d'environ fois mille en 15 ans, fois un million en 30 ans à prix constant, ce qui explique la progression informatique fulgurante que nous observons et qui transforme petit à petit notre monde. La prochaine révolution qui va impacter grandement les gens sera la révolution médicale. La Silicon Valley est en pointe dans toutes ces avancées.
Développement de l'intelligence artificielle (Watson d'IBM), séquençage ADN pour mieux connaître notre patrimoine génétique, prédispositions aux maladies (tests déjà réalisables pour quelques centaines d'Euros par 23andme), bientôt reprogrammation génétique de manière à améliorer le corps mentalement et physiquement, guérir les maladies (Calico de Google)... Hybridation homme-machine pour augmenter nos capacités intellectuelles et physiques (Neuralink d'Elon Musk, président de Tesla et SpaceX). Bref, la science-fiction devient réalité progressivement. Qu'aurait-on dit en 1950 si l'on avait dit que tout le monde aurait des téléphones sans fil et ordinateurs connectés à un réseau d'information mondial qui diffuse textes, audios, images et vidéos ?
Potentiellement, le progrès technoscientifique nous donnera la puissance nécessaire pour sauver le monde, même de catastrophes galactiques par la programmation de la matière et la canalisation toujours plus grande de sources d'énergies, voir l'échelle de Kardashev.
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