mardi 31 janvier 2017

Intuition et musique chez les écrivains

On peut lire ici ou là que les écrivains écrivent en musique. Pourquoi ? La musique est la forme des intuitions émotionnelles, comme l'image devient la forme de certaines intuitions complexes.

La musique amorce donc certaines émotions qui amorcent à leur tour des intuitions. En ce moment j'écoute N'to, Trauma, Worakls remix. Cette musique me lie émotionnellement à la notion d'ascension humaine, à la connaîssance, la technoscience, la compréhension. En un sens, elle m'inspire, c'est à dire qu'elle me donne des émotions qui me donnent à leur tour des intuitions que je mets en forme ici.

Si d'aventure un lecteur passe par ici, je tiens à dire que ce que j'écris fait partie du processus d'élaboration de ma pensée. Je dois mettre en forme si je veux que ma pensée se développe, c'est à dire que de nouveaux liens se fassent, créant des concepts, des agencements nouveaux. Une idée en appelant une autre par la magie du texte. Magie qui n'est autre que le fonctionement intuitif relié à une forme qui est mémorisée instantanément et parfaitement sur l'ordianteur. Je peux donc aller beaucoup plus loin que juste dans ma tête qui oublie.

En retour, ma pensée se développe aussi en moi en même temps qu'elle se développe sur le papier. C'est le sens de ce que j'ai écrit dans ma présentation de blog. Et j'espère que vous comprendrez aussi comment on élabore une pensée. Qu'on comprend un cours ou quoi que ce soit d'autre par la méthode qui est la forme de l'intuition FIIF, son principe du lien Forme-Intuition et Intuition-Forme à faire dans les deux sens pour s'élever progressivement.

Il est normal que je me répète d'un article à l'autre, cela fait partie de l'entraînement de ma pensée. A mesure que je répète, mes intuitions se font plus complexes car les blocs sont de plus en plus familiers à mon cerveau, donc il les identifie directement, immédiatement. En les identifiant immédiatement, il peut donc faire des liens intuitifs entre eux et je monte d'un cran dans la hiérarchie des concepts. Comme un ensemble de syllabes forment un mot.

Regardez, j'ai déjà écrit une page, aidé de ma musique. L'inspiration vient en écrivant ! J'écris pour les archives aussi, on ne sait jamais, je pourrais avoir un accident et ne pas avoir le temps de développer, de diffuser cette méthode et ce principe FIIF. Si quelqu'un souhaite reprendre le flambeau, je souhaite lui dire qu'il faut montrer aux gens que cela fonctionne par la pratique. Ce livre est aussi une preuve que cela fonctionne. Ma pensée se complexifie et c'éclaircit pour moi à mesure que j'écris. Et donc j'écris de plus en plus. C'est en faisant pratiquer que les gens seront convaincus, ils verront l'efficacité. Si un jour j'édite un livre, il devra être crédible car ce qu'il racontera aura déjà amélioré l'apprentissage des gens. Je le conçois aussi comme un support, une sorte de bible qui permettra de répondre aux questions théoriques et pratiques que les gens se posent. La théorie est la manièr de voir étymologiquement, la pratique est la manière de faire. Vous pouvez aller voir sur wikipedia, l'encyclopédie en ligne. Theorein, du Grec, je crois, et Praxis, Latin.

J'imagine son titre en lettres d'or, un peu à la manière de l'encyclopédie universalis avec sa couverture en cuir pourpre. FIIF, sous titré : Forme-Intuition, Intuitition-Forme, l'apprentissage se fait en faisant le lien dans les deux sens. Je ne souhaite pas un titre obscur, je veux que les gens voient le coeur de ce principe dès la couverture et la quatrième de couverture. Je souhaite que ce livre éclaire vraiment les gens. Une théorie soutenue par la pratique, leur pratique. Il pourrait contenir des exercices pratiques à faire et simples afin qu'ils ressentent vraiment que leur compréhension est améliorée par cette théorie et pratique. Pas à pas. FIIF est l'acronyme qui est la forme simple de l'idée qui est au coeur du livre. En un sens c'est la forme simple de l'intuitions foncamentale. C'est l'idée qui est tout en haut de la hiérarchie des idées de ce livre. Elle les relie toutes et les généralisent. En ce sens cette idée centrale aide à comprendre l'entièreté du livre et le résume.

L'idée des niveaux hiérarchiques des concepts : a+b=c est plus général, donc plus abstrait que 3+4=7, 5+9=14, etc... Car il identifie une loi, un motif, une régularité commune à tous. L'exemple également d'une langue : traits, lettres, groupes de lettres pour les syllabes, mots, groupes de mots, phrases, grouples de phrases, paragraphes, groupes de paragraphes, chapitres, groupes de chapitres, livre, groupe de livres, bibliothèques, groupes de bibliothèques, totalité des bibliothèques et des livres du monde. A chaque niveau, les idées exprimées sont plus complexes, c'est à dire qu'une forme complexe correspond à une intuition complexe. L'intuition pour identifier le mot par exemple, mais également l'intuition et la forme désignée par ce mot ou ce symbole. C'est le saut qualitatif du mot. Il fait des liens intuitifs à l'extérieur de lui-même qui ne sont plus seulement des sons, mais d'autres intuitions visuelles, olfactives, émotionnelles, rationnelles, sexuelles, tout type d'intuitions et de formes qui leur sont liées. Table, chaise, paix, guerre, maison, santé, maladie... Ascension humaine par la coroissance exponentielle de la technoscience et par la compréhension, la conscientisation de comment on apprend et la mise en pratique qui en découle.

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